Nice que la course est belle.
Départ vendredi en fin de matinée, pour rejoindre Joêl de Triathlonperformance, qui est sur les stands avec ces panneaux publicitaires et autres affichettes, un peu de promotion pour l'organisation de voyage déstiné aux triathlètes.
Un tour des stand, plutôt génial mais dificile pour la CB, heureux de rencontrer certains triathlètes avec lesqueslles je discute depuis des mois par mail, récupération du dossard, et là c'est la total, jolie sac, casquette, tee-shirt.
Samedi après avoir passer une nuit chez Joêl, il est l'heure d'aller rendre un visite à mon partenaire cycle et de prendre la direction du parc à vélo, j'ai pas mal calculé, car on a un sac pour chaque changement, et ceux qui ont mis les chaussures de cap dans le sac BIKE, dommage.
Un parfum de grande compétition soufle sur le parc à vélo, en tout cas toute cette organisation est très pro, merci à eux.
Dimanche levé 5h, un petit déjeuner et direction le Triathlon de Nice, enfin, je me doute que cela seras difficile à cause d'une préparation très perturbée, et finalement la décision de m'y inscrire au dernier moment, à 23h55 le dernier jour.
Malgrè tout un volume moyen d'entrainement de 7h sa feras bien l'affaire.
Les box de départ natation sont la pour vous guider, je prévois 1h15, je me met dans le box 1h10, on ne c'est jamais, je nage tranquille plutôt technique et au finale je sort en 1h03 un peu surpris, je me demande si il ne manque pas 300m en tout cas je sort sans fatigue, et aux environ de la 600 ième place.
c'est partie pour une bonne partie de manivelle, évidement tout ne peut pas ce passer bien, mon cardio refuse de démarrer, et moi qui ne jure que par ça, je suis un peu perdu, tant pis je vais arrêter de m'enervé et je me concentre sur mon vélo, au 50 ième kilo je pense être dans les 200, tout va bien je continu comme cela au 100 ième j'ai franchi la barre des 90, est puis quelque chose ne va pas, prochain ravito je m'arrête, je vérifie, je pense avoir casser la cale mais non, j'ai perdu deux vis, coup dur, avec une seul vis je ne pense pas aller très loin.
Heureuement dans mon camelback, j'ai des colliers en plastique, je sert la chaussure sur la pédale, cela devrais aller je ne vais pas abandonner pour si peu, je repards avec un pieds en dehors de la chaussure et je ne peux qu'appuyer, je me dehanche pas facile, alors je sort l'autre pieds et je continu comme ça c'est galère mais sa roule quand, je sent que cela seras un enfer, et se qui devais arriver, des crampes de fou à partir du 135 ieme kilo, qu'est que sa fais mal, mes jambes se rédisse l'une après l'autre, le fait depédaler plus haute, cela à du causer biensur un mauvais geste et avec la fatigue, c'est horrible, je me laisse descendre cmme je peux, je m'arrête de temps, il commence à pleuvoir, je loupe un virage malgrè ma faible vitesse, je remonte sur le vélo, démoraliser, et voila que des bourasques de vent se rajoute à la pluie en arrivant sur le front de mer, au finale e pose le vélo 96 ième à la limite pas si mal vu le monbre de gars que j'ai vu me doubler sur la fin, je suis déçu, je met 5h28 et je pense avoir bien perdu plus de 20', dommage, je ne parlerais même pas du marathon, la course est fini pour moi, je suis plein de crampes, impossible courir, je pense juste à finir le plus lentement possible pour ne pas me vider complètement et me mettre en echec sur le reste de la saison, dans le dernier tour cela commence à aller mieux et je me remet à courir à 13 km/h que c'est bon et agréable.
En tout cas une très belle épreuve, ou quoi qu'il arrive on à pas l'envie d'abandonner, mais de profitter, du parcours des bénévoles, des spectateurs.
Je ne sais pas si j'y serais l'année prochaine mais en tout cas j'ai renouer avec la natation, et avec le triathlon. |